Comment expliquer que malgré 17 milliards avancés par le gouvernement ainsi que différentes réformes institutionnelles annoncées, les gilets jaunes continuent de clamer qu'on ne les écoute pas, qu'ils ne sont pas entendus. Rien, on a rien eu, répètent-ils. Même ceux qui ont reçu la prime d'activité pourtant versée effectivement.
On entend : « Avec le nouveau contrôle technique qu'ils nous ont mis »... et que subissent en effet les plus pauvres, galérant pour payer les réparations conséquentes afin de l’obtenir. Par ailleurs l'essence est encore plus chère qu'en novembre 2017... Des mesures réclamées semblent avoir disparu, le non cumul des retraites avec une autre fonction au-delà de 15000€. La suppression des avantages des anciens présidents mais aussi des parlementaires et surtout des sénateur.es etc. Et il y aurait toujours un million de travailleurs vivant avec moins de 855 euros par mois...
D'un autre coté, une nouvelle tendance apparait chez les Gilets Jaunes qui s'opposent à la privatisation de ADP, à la loi du ministre de l'Education, devenant une sorte d’opposition politique au régime de Macron.
